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Création Entreprise à Hong-Kong et Compte Bancaire Offshore
Tout pour une fiscalité un peu plus douce

Tout pour une fiscalité un peu plus douce

La fiscalité est, certes, une obligation aussi bien pour les particuliers que les professionnels. Toutefois, dans le cas des entreprises, les prélèvements atteignent parfois des niveaux assez élevés dans certains pays qu’ils deviennent des freins à l’expansion de la structure.

Les entrepreneurs et professionnels appliquent alors différentes techniques d’optimisation fiscale afin de réduire les charges. Différentes méthodes sont aujourd’hui pratiquées. Cependant, quelques-unes méritent d’être rappelées en raison de leur efficacité.

Quelques techniques d’optimisation fiscale

L’offshoring est actuellement la technique la plus prisée. Les investisseurs et entrepreneurs choisissent des destinations spécifiques comme Hong Kong, Seychelles, Maurice ou même Dubaï. Ces pays proposent une fiscalité largement avantageuse.

Cependant, en plus d’être privilégiés par ces dispositifs spéciaux, les entreprises ont la possibilité d’adopter différentes méthodes d’optimisation fiscale. Les prix de transfert demeurent les plus rentables pour les firmes qui disposent de nombreuses filiales. Ces dernières facturent leurs services et biens entre elles.

Les bénéfices sont alors déplacés géographiquement alors que la marge ne sera fixée que lors de la commercialisation auprès des consommateurs finaux. Les profits seront gardés dans le pays qui affiche les meilleurs avantages fiscaux. L’autre méthode consiste à mettre en pratique le principe des contrats de façonnage.

Les activités à forte valeur ajoutée vont être délocalisées. Les investisseurs et entrepreneurs ne gardent que la fonction production et la gestion administrative (le siège social) dans le pays d’origine. Ainsi, les bénéfices seront exonérés d’impôt et les coûts seront, par ailleurs, largement réduits.

Déficits et crédit d’impôt

Pour les TPE et PME, et même les grandes structures qui prévoient de s’installer dans un autre pays, mais qui attendent d’être vraiment prêtes, d’autres pratiques sont à retenir en attendant la véritable délocalisation. La première astuce consiste, par exemple, à bien gérer les déficits. Ces derniers peuvent être reportés sur les bénéfices futurs.

Ainsi, grâce à cette technique toute simple, les structures réduiront leur assiette IS. Les crédits d’impôts (CIR, crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi, crédit d’impôt apprentissage, crédit d’impôt pour les dépenses de prospection commerciale) sont aussi des formules intéressantes. Cependant, il faut savoir choisir le dispositif adapté à la situation de la société.

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