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Une récente étude menée par le CBRE montre que Hong-Kong est bien la ville la plus chère au monde en matière d’immobilier « résidentiel ». Plus de 31 grandes villes mondiales ont été passées au crible, et, Hong-Kong domine encore une fois le monde.
Le coût du mètre carré par de lui-même puisqu’il est de 13 000 euros. Un réel problème pour les locaux qui subissent une hausse infernale du montant des loyers.
Cette augmentation stratosphérique est due à l’arrivée de nombreux expatriés (dont des milliers d’entrepreneurs) et aux achats réalisés par les Chinois (au-dessus des prix du marché).
A titre d’exemple, les prix des loyers ont augmenté de 13,5 % en 2014 et déjà de 7 % lors du premier semestre 2015. N’oublions pas que Hong-Kong est, contrairement aux idées reçues, une zone où la jungle est très dense, ce qui rend les constructions très difficiles. Automatiquement, les prix flambent face à l’afflux des expatriés.
Sur le podium, Londres et New-York complètent ce classement des villes où l’immobilier est le plus cher au monde.
A Londres, il faudra débourser 9 900 euros par mètre carré contre 8 100 euros à New York. A titre indicatif, le prix du mètre carré londonien a augmenté de 86% entre 2009 et 2015. A titre de comparaison, Paris est 4ème de ce classement avec un mètre carré à 8 000 euros.
Les capitales les moins chères au monde
Au-delà de ces villes très coûteuses, certaines capitales réussissent à tirer leur épingle du jeu en proposant des tarifs immobiliers raisonnables.
Ainsi, Lisbonne, Madrid et Barcelone proposent un excellent rapport qualité-prix, à savoir entre 1 800 et 2 300 euros le mètre carré.